Membre de l’Association des Acupuncteurs du Québec

Espace Thérapeutique Repentigny

bienfait de l'acupuncture

Association des acupuncteurs du QuebecMembre de l’Association des Acupuncteurs du Québec. L’opinion populaire laisse souvent entendre que l’action de l’acupuncture repose sur la croyance qu’on en a. Il n’en est rien!

Les effets de l’acupuncture sur les enfants et les animaux ont poussé le milieu médical à tenter d’expliquer les effets observés par l’acupuncture. Les recherches scientifiques réussissent maintenant à fournir des réponses avec la technologie de pointe et les nouvelles découvertes médicales.

À partir de multiples résultats de recherches scientifiques, l’effet de l’acupuncture s’explique par l’action de plusieurs systèmes biologiques du corps : système nerveux, système hormonal, système vasculaire, système immunitaire.

IMAGERIE FONCTIONNELLE PAR RÉSONNANCE MAGNÉTIQUE
L’imagerie par résonnance magnétique du cerveau met en preuve l’activation de zones et de structures précises du cerveau suite à la stimulation de points d’acupuncture. Cette nouvelle technologie apporte un nouvel éclairage et des preuves indéniables de l’action de l’acupuncture sur des mécanismes biologiques multiples du corps. Une des nombreuses recherches utilisant cette technologie nous vient de Northwestern Radiology.

NEUROLOGIEAcupuncture Repentigny : douleur au dos
L’étude sur la douleur a permis de mettre en évidence que l’acupuncture agit sur des fibres nerveuses spécifiques périphériques qui désactivent la transmission de douleur au système nerveux central et permettent de moduler la maladie. Mais par contre, plusieurs autres études confirment que cette action particulière de l’acupuncture, bien que mesurable, ne peut expliquer à elle seule tous les effets observés produits par l’acupuncture.

ÉLECTROPHYSIOLOGIE
Les points d’acupuncture et les méridiens peuvent être détectés électriquement. Plus encore, les recherches sur les propriétés bioélectriques, électro-physiques et électromagnétiques des points et des méridiens supportent la possibilité de l’existence des méridiens en tant que système de transport d’informations.

NEUROENDOCRINOLOGIE
D’autres études démontrent l’action de neurotransmetteurs à divers niveaux ducorps. Les substances telles que bêta-endorphine, enképhaline, sérotonine, substance P sont prouvées être mises à contribution lors de la stimulation de points comme explication d’actions physiologiques de l’acupuncture. Une multitude de recherches ont permis de mesurer les variations de ces substances dans le cerveau et dans le liquide céphalo-rachidien.

SYSTÈME CIRCULATOIREHÉMATOLOGIE
L’explication des effets de l’acupuncture, toujours d’après les résultats de recherches scientifiques, nécessite la participation du système circulatoire sanguin. Il est prouvé que la stimulation de certains points permet de changer la chimie du sang. On mesure des variations sanguines d’éléments biomoléculaires tels que les immunoglobulines, tromboxanes, endothélines et prostacyclines, autant centrales que périphériques.

Des études mettent en évidence qu’il se produit des changements quantitatifs sur certaines enzymes, hormones, globules rouges et blancs, les plaquettes, etc. En même temps, des modifications vasomotrices visibles dans le cerveau et en périphérie sont tout autant démontrées.

SYSTÈME LYMPHATIQUE
D’autres effets de l’acupuncture s’opèrent via la circulation lymphatique qui sert de vecteur à un flux ionique le long des aponévroses musculaires et influence aussi la circulation des fluides interstitiels péri-vasculaires. Il y a modification des capacités osmotiques des membranes cellulaires.

Acupuncture à RepentignyACTION BIO-ÉLECTRO-MAGNÉTIQUE
Les résultats d’études obligent à se référer à des principes au-delà des modèles médicaux conventionnels. L’explication des phénomènes observés utilise des connaissances récentes en physico-chimie et dans le domaine bio-moléculaire. Ainsi on observe des modifications de l’électricité statique à la surface de la peau. On observe aussi une migration des ions dans le liquide interstitiel, provoquée par la stimulation de l’aiguille. L’acupuncture provoque aussi des phénomènes de semi-conduction au niveau des membranes musculaires.

Des études mettent en évidence qu’il se produit des changements quantitatifs sur certaines enzymes, hormones, globules rouges et blancs, les plaquettes, etc. En même temps, des modifications vasomotrices visibles dans le cerveau et en périphérie sont tout autant démontrées.

SYSTÈME LYMPHATIQUE
D’autres effets de l’acupuncture s’opèrent via la circulation lymphatique qui sert de vecteur à un flux ionique le long des aponévroses musculaires et influence aussi la circulation des fluides interstitiels péri-vasculaires. Il y a modification des capacités osmotiques des membranes cellulaires.

ACTION BIO-ÉLECTRO-MAGNÉTIQUE
Les résultats d’études obligent à se référer à des principes au-delà des modèles médicaux conventionnels. L’explication des phénomènes observés utilise des connaissances récentes en physico-chimie et dans le domaine bio-moléculaire. Ainsi on observe des modifications de l’électricité statique à la surface de la peau. On observe aussi une migration des ions dans le liquide interstitiel, provoquée par la stimulation de l’aiguille. L’acupuncture provoque aussi des phénomènes de semi-conduction au niveau des membranes musculaires.

EN CONCLUSION
Il est maintenant prouvé qu’il y a une réponse intégrée du corps suite à la stimulation d’un point d’acupuncture. Une cascade d’événements biologiques complexes est générée et mesurée par les techniques modernes de recherche.


Contemporary View on Neurobiology of Acupuncture A. Fargas-Babjak, MD, FRCPC, Professeur, Département d’anesthésie, McMaster University, London, Ont.
Role of acupuncture in chronic pain A. Fargas-Babjak, MD, FRCPC, Professeur, Département d’anesthésie, McMaster University, London, Ont.
The science behind acupuncture Dr Andrew Dainsberg, DMV, CVA, Santa Barbara, Californie
www.drfeely.com/doctors/acu www.acupuncturetoday.com

L’acupuncture, efficacité officiellement reconnue par le milieu scientifique.

  1. En novembre 1997, la NIH a reconnu l’efficacité de l’acupuncture dans quelques domaines précis sur la base d’études, de littératures et recherches scientifiques existantes utilisant la fine pointe technologique et ayant la rigueur nécessaire pour être considérée dans cette vaste synthèse.
  2. La NIH conclut qu’il y a des preuves évidentes que l’acupuncture a une efficacité supérieure à l’effet placebo contre les nausées et vomissements de chimiothérapie, de grossesse et de post-anesthésie.
  3. Une efficacité est réellement prouvée contre les douleurs dentaires post-opératoires et les données scientifiques tendent à confirmer cette efficacité contre les douleurs menstruelles, douleurs lombaires, tunnel carpien, fibromyalgie, céphalée (maux de tête) et « tennis elbow » (épicondylite).
  4. Les résultats laissent aussi sous-entendre une efficacité pour les problèmes d’asthme, de réhabilitation d’accident cérébro-vasculaire et de toxicomanie.
  5. Le NIH rapporte aussi que l’acupuncture ne produit que très peu ou pas d’effets secondaires et est un avantage marqué en regard des traitements conventionnels.
  6. Le National Institutes of Health Consensus Development Program a été fondé en 1977 et est l’autorité en matière d’évaluation des technologies de la santé et des programmes de transferts dans le monde médical américain. Sous l’égide de ce programme, l’Office des Applications Médicales de la Recherche à la NIH organise de grandes conférences desquelles ressortent un énoncé de consensus et un énoncé de l’évaluation des technologies concernant des sujets controversés en médecine pour les professionnels de la santé, les patients et le public en général.
  7. Le panel d’experts a livré son énoncé de consensus à la suite d’une revue extensive de la littérature médicale existante et d’une série de présentations par des experts en recherche lors d’une Conférence sur le Développement d’un Consensus sur l’Acupuncture. Le document complet de ce consensus est disponible en composant 1-888-644-2667 ou sur le site consensus.nih.gov

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